Ma formation

Alexandra Legendri-Fauron

Alexandra Legendri-Fauron

Je suis titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées (DESS) de psychologie clinique, spécialisée en gérontologie, obtenu en 2000 à l’Université de Toulouse – Jean Jaurès.

J’ai complété ma formation par une étude approfondie de la sociologie, de la psychopathologie, de la psychologie sociale, du développement et de la linguistique, ce qui me permet de proposer une approche multi-référentielle, c’est-à-dire avoir recours à divers modèles conceptuels.

Cependant, mon modèle thérapeutique de référence reste l’approche humaniste qui cherche à développer chez la personne la capacité de faire des choix afin d’acquérir d’avantage d’autonomie (Abraham Maslow, 1908-1970) et la non-directivité car elle permet de libérer les tendances positives ainsi que les forces de changement (Carl Rogers, 1902-1987). La vision globale de Fritz Perls (1893-1970) qui considérait que pour découvrir sa structure interne et reprendre contact avec soi, il fallait une vision d’ensemble sur soi. Il travaillait déjà avec « l’ici et maintenant » cher aux orientaux dans un lien de confiance et d’authenticité.

L’approche existentielle, ou humaniste-existentielle, (Viktor Frankl (1905-1997, Irvin D. Yalom 1931) ainsi que les supports de pleine conscience ont beaucoup enrichi tant la professionnelle que je suis que ma pratique elle-même.

Alexandra Legendri-Fauron

Alexandra Legendri-Fauron

Parallèlement à ma formation, je me suis inscrite dans un processus d’accompagnement et de formation de bénévoles intervenant auprès d’un public fragilisé et vulnérable ; cette expérience particulièrement forte donnait, non seulement, un sens concret à ma pratique mais nourrissait aussi ma volonté de me sentir utile. Un travail thérapeutique personnel est aussi venu m’éclairer me permettant de mieux me positionner par rapport à ma propre histoire.

Mais je dois avouer que les périodes les plus enrichissantes professionnellement ont été ces périodes d’accompagnement de personnes fragiles, malades ou porteuses de handicaps ; ces personnes, merveilleuses d’humanité, m’ont appris l’importance, de la qualité de présence. J’ai appris la force d’un sourire, d’un regard complice et bienveillant, d’une main posée ou d’un simple « bonjour, comment vous sentez-vous aujourd’hui ? » ; ces petites attentions qui, en remettant du lien et de la vie, aident à rompre l’isolement et la solitude.

Alexandra Legendri-Fauron

"J’ai appris la douceur de la « présence juste » qui, miraculeuse et libératrice, permet d’aller au-delà des mots ou des non-dits pour se recentrer et se relier. Le défi d’une thérapie est de dégager un chemin vers une liberté intérieure plus grande et plus consciente des influences extérieures. Un pas puis un autre, l’essentiel étant de se remettre doucement en route."

Mon parcours professionnel

Alexandra Legendri-Fauron

Ma pratique professionnelle a débuté en Septembre 2000 en Martinique et a été riche et variée ; en effet, j’ai pu m’investir tant dans la formation d’adultes que dans l’accompagnement de jeunes souffrant de handicaps. J’ai commencé à développer le travail en groupes de parole pour les familles et les jeunes souffrant de handicaps ou de maladies invalidantes.

A cette période de début de carrière, les échanges avec des confrères de différents courants ont beaucoup enrichi ma pratique et la professionnelle que je suis devenue. J’ai été sensible au travail sur le corps meurtri ou lourdement handicapé selon des approches de toucher thérapeutique, d’art thérapie et d’équithérapie où le lien se tissait, au-delà des mots, dans une dimension bien plus vaste de sensations, perceptions, partage et symbolique. Le corps souffrant n’était plus une limite, des occasions nouvelles proposaient de se découvrir vivant autrement grâce à des supports adaptés à la situation vécue.

J’ai mesuré combien les étiquettes définitives de diagnostics pouvaient être l’occasion de régressions terribles et injustes chez certains patients et que notre responsabilité en tant que soignant et aidant était plutôt d’offrir des espaces de possibles et d’espoir.

Aujourd’hui, j’exerce au sein de mon cabinet privé tout en développant divers partenariats avec des associations, des institutions et des cabinets médicaux. Ma pratique libérale, profondément ancrée dans des valeurs humanistes, s’appuie sur les notions de liberté, de non-directivité, d’authenticité, de confidentialité et de respect de l’autre dans sa singularité.

Ma situation familiale et professionnelle me faisant beaucoup voyager, j’ai choisi de proposer aussi des thérapies en ligne. Au départ de ce projet de téléconsultation, j’avoue avoir eu quelques réticences à proposer des thérapies à distance car il m’importait que le cadre éthique soit respecté et que le transfert, base thérapeutique indispensable qui renvoie au lien particulier qui se tisse entre le patient et son thérapeute, soit maintenu dans le respect du Code de déontologie.

Après avoir consulté plusieurs études sur les thérapies par internet, en France, aux Etats-Unis et au Canada, j’ai d’abord commencé la pratique en ligne sur la demande de patients que je suivais en cabinet puis j’ai étendu ma pratique à de nouveaux patients. J’ai pu me rendre compte que la qualité du travail thérapeutique était la même qu’en cabinet si l’on respectait certaines règles indispensables.

Alexandra Legendri-Fauron

Le suivi psychologique en ligne permet donc un accompagnement psychologique de qualité s’il est proposé par un professionnel averti et diplômé. Cependant, la thérapie en cabinet demeure préférable dans certains cas. Le patient peut avoir besoin de la rencontre physique avec son psychologue afin de traiter des difficultés ou pathologies particulières.

Pour cette raison, il m’arrive de réorienter certaines demandes vers des professionnels exerçant en cabinet qu’ils soient psychologues ou psychiatres. Je vous conseille aussi, comme je le fais pour certains patients en cabinet, de vous adresser à votre médecin traitant, qui vous connaît bien et pourra vous indiquer un psychologue proche de chez vous. Consulter en ligne comme en cabinet exige un engagement authentique qui permettra alors d’avancer avec confiance et sérénité dans ce cheminement que vous avez choisi courageusement d’entreprendre.

Le choix de votre psychologue est important, vous devez vous sentir à l’aise ; c’est grâce à cette relation privilégiée que vous pourrez vous autoriser à vous retrouver « en vrai », comme le disent très justement les plus petits.

Ma formation

Je suis titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées (DESS) de psychologie clinique, spécialisée en gérontologie, obtenu en 2000 à l’Université de Toulouse – Jean Jaurès.

J’ai complété ma formation par une étude approfondie de la sociologie, de la psychopathologie, de la psychologie sociale, du développement et de la linguistique, ce qui me permet de proposer une approche multi-référentielle, c’est-à-dire avoir recours à divers modèles conceptuels.

Alexandra Legendri-Fauron

Cependant, mon modèle thérapeutique de référence reste l’approche humaniste qui cherche à développer chez la personne la capacité de faire des choix afin d’acquérir d’avantage d’autonomie (Abraham Maslow, 1908-1970) et la non-directivité car elle permet de libérer les tendances positives ainsi que les forces de changement (Carl Rogers, 1902-1987). La vision globale de Fritz Perls (1893-1970) qui considérait que pour découvrir sa structure interne et reprendre contact avec soi, il fallait une vision d’ensemble sur soi. Il travaillait déjà avec « l’ici et maintenant » cher aux orientaux dans un lien de confiance et d’authenticité.

L’approche existentielle, ou humaniste-existentielle, (Viktor Frankl (1905-1997, Irvin D. Yalom 1931) ainsi que les supports de pleine conscience ont beaucoup enrichi tant la professionnelle que je suis que ma pratique elle-même.

Parallèlement à ma formation, je me suis inscrite dans un processus d’accompagnement et de formation de bénévoles intervenant auprès d’un public fragilisé et vulnérable ; cette expérience particulièrement forte donnait, non seulement, un sens concret à ma pratique mais nourrissait aussi ma volonté de me sentir utile. Un travail thérapeutique personnel est aussi venu m’éclairer me permettant de mieux me positionner par rapport à ma propre histoire.

Mais je dois avouer que les périodes les plus enrichissantes professionnellement ont été ces périodes d’accompagnement de personnes fragiles, malades ou porteuses de handicaps ; ces personnes, merveilleuses d’humanité, m’ont appris l’importance, de la qualité de présence. J’ai appris la force d’un sourire, d’un regard complice et bienveillant, d’une main posée ou d’un simple « bonjour, comment vous sentez-vous aujourd’hui ? » ; ces petites attentions qui, en remettant du lien et de la vie, aident à rompre l’isolement et la solitude.

"J’ai appris la douceur de la « présence juste » qui, miraculeuse et libératrice, permet d’aller au-delà des mots ou des non-dits pour se recentrer et se relier. Le défi d’une thérapie est de dégager un chemin vers une liberté intérieure plus grande et plus consciente des influences extérieures. Un pas puis un autre, l’essentiel étant de se remettre doucement en route."

Mon parcours professionnel

Ma pratique professionnelle a débuté en Septembre 2000 en Martinique et a été riche et variée ; en effet, j’ai pu m’investir tant dans la formation d’adultes que dans l’accompagnement de jeunes souffrant de handicaps. J’ai commencé à développer le travail en groupes de parole pour les familles et les jeunes souffrant de handicaps ou de maladies invalidantes.

A cette période de début de carrière, les échanges avec des confrères de différents courants ont beaucoup enrichi ma pratique et la professionnelle que je suis devenue. J’ai été sensible au travail sur le corps meurtri ou lourdement handicapé selon des approches de toucher thérapeutique, d’art thérapie et d’équithérapie où le lien se tissait, au-delà des mots, dans une dimension bien plus vaste de sensations, perceptions, partage et symbolique. Le corps souffrant n’était plus une limite, des occasions nouvelles proposaient de se découvrir vivant autrement grâce à des supports adaptés à la situation vécue.

Ma situation familiale et professionnelle me faisant beaucoup voyager, j’ai choisi de proposer aussi des thérapies en ligne. Au départ de ce projet de téléconsultation, j’avoue avoir eu quelques réticences à proposer des thérapies à distance car il m’importait que le cadre éthique soit respecté et que le transfert, base thérapeutique indispensable qui renvoie au lien particulier qui se tisse entre le patient et son thérapeute, soit maintenu dans le respect du Code de déontologie.

Après avoir consulté plusieurs études sur les thérapies par internet, en France, aux Etats-Unis et au Canada, j’ai d’abord commencé la pratique en ligne sur la demande de patients que je suivais en cabinet puis j’ai étendu ma pratique à de nouveaux patients. J’ai pu me rendre compte que la qualité du travail thérapeutique était la même qu’en cabinet si l’on respectait certaines règles indispensables.

Le suivi psychologique en ligne permet donc un accompagnement psychologique de qualité s’il est proposé par un professionnel averti et diplômé. Cependant, la thérapie en cabinet demeure préférable dans certains cas. Le patient peut avoir besoin de la rencontre physique avec son psychologue afin de traiter des difficultés ou pathologies particulières.

Pour cette raison, il m’arrive de réorienter certaines demandes vers des professionnels exerçant en cabinet qu’ils soient psychologues ou psychiatres. Je vous conseille aussi, comme je le fais pour certains patients en cabinet, de vous adresser à votre médecin traitant, qui vous connaît bien et pourra vous indiquer un psychologue proche de chez vous. Consulter en ligne comme en cabinet exige un engagement authentique qui permettra alors d’avancer avec confiance et sérénité dans ce cheminement que vous avez choisi courageusement d’entreprendre.

Le choix de votre psychologue est important, vous devez vous sentir à l’aise ; c’est grâce à cette relation privilégiée que vous pourrez vous autoriser à vous retrouver « en vrai », comme le disent très justement les plus petits.

J’ai mesuré combien les étiquettes définitives de diagnostics pouvaient être l’occasion de régressions terribles et injustes chez certains patients et que notre responsabilité en tant que soignant et aidant était plutôt d’offrir des espaces de possibles et d’espoir.

Aujourd’hui, j’exerce au sein de mon cabinet privé tout en développant divers partenariats avec des associations, des institutions et des cabinets médicaux. Ma pratique libérale, profondément ancrée dans des valeurs humanistes, s’appuie sur les notions de liberté, de non-directivité, d’authenticité, de confidentialité et de respect de l’autre dans sa singularité.

Ma formation

Alexandra Legendri-Fauron

Je suis titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées (DESS) de psychologie clinique, spécialisée en gérontologie, obtenu en 2000 à l’Université de Toulouse – Jean Jaurès.

J’ai complété ma formation par une étude approfondie de la sociologie, de la psychopathologie, de la psychologie sociale, du développement et de la linguistique, ce qui me permet de proposer une approche multi-référentielle, c’est-à-dire avoir recours à divers modèles conceptuels.

Alexandra Legendri-Fauron

Cependant, mon modèle thérapeutique de référence reste l’approche humaniste qui cherche à développer chez la personne la capacité de faire des choix afin d’acquérir d’avantage d’autonomie (Abraham Maslow, 1908-1970) et la non-directivité car elle permet de libérer les tendances positives ainsi que les forces de changement (Carl Rogers, 1902-1987). La vision globale de Fritz Perls (1893-1970) qui considérait que pour découvrir sa structure interne et reprendre contact avec soi, il fallait une vision d’ensemble sur soi. Il travaillait déjà avec « l’ici et maintenant » cher aux orientaux dans un lien de confiance et d’authenticité.

L’approche existentielle, ou humaniste-existentielle, (Viktor Frankl (1905-1997, Irvin D. Yalom 1931) ainsi que les supports de pleine conscience ont beaucoup enrichi tant la professionnelle que je suis que ma pratique elle-même.

Parallèlement à ma formation, je me suis inscrite dans un processus d’accompagnement et de formation de bénévoles intervenant auprès d’un public fragilisé et vulnérable ; cette expérience particulièrement forte donnait, non seulement, un sens concret à ma pratique mais nourrissait aussi ma volonté de me sentir utile. Un travail thérapeutique personnel est aussi venu m’éclairer me permettant de mieux me positionner par rapport à ma propre histoire.

Mais je dois avouer que les périodes les plus enrichissantes professionnellement ont été ces périodes d’accompagnement de personnes fragiles, malades ou porteuses de handicaps ; ces personnes, merveilleuses d’humanité, m’ont appris l’importance, de la qualité de présence. J’ai appris la force d’un sourire, d’un regard complice et bienveillant, d’une main posée ou d’un simple « bonjour, comment vous sentez-vous aujourd’hui ? » ; ces petites attentions qui, en remettant du lien et de la vie, aident à rompre l’isolement et la solitude.

"J’ai appris la douceur de la « présence juste » qui, miraculeuse et libératrice, permet d’aller au-delà des mots ou des non-dits pour se recentrer et se relier. Le défi d’une thérapie est de dégager un chemin vers une liberté intérieure plus grande et plus consciente des influences extérieures. Un pas puis un autre, l’essentiel étant de se remettre doucement en route."

Mon parcours professionnel

Ma pratique professionnelle a débuté en Septembre 2000 en Martinique et a été riche et variée ; en effet, j’ai pu m’investir tant dans la formation d’adultes que dans l’accompagnement de jeunes souffrant de handicaps. J’ai commencé à développer le travail en groupes de parole pour les familles et les jeunes souffrant de handicaps ou de maladies invalidantes.

A cette période de début de carrière, les échanges avec des confrères de différents courants ont beaucoup enrichi ma pratique et la professionnelle que je suis devenue. J’ai été sensible au travail sur le corps meurtri ou lourdement handicapé selon des approches de toucher thérapeutique, d’art thérapie et d’équithérapie où le lien se tissait, au-delà des mots, dans une dimension bien plus vaste de sensations, perceptions, partage et symbolique. Le corps souffrant n’était plus une limite, des occasions nouvelles proposaient de se découvrir vivant autrement grâce à des supports adaptés à la situation vécue.

Alexandra Legendri-Fauron

J’ai mesuré combien les étiquettes définitives de diagnostics pouvaient être l’occasion de régressions terribles et injustes chez certains patients et que notre responsabilité en tant que soignant et aidant était plutôt d’offrir des espaces de possibles et d’espoir.

Aujourd’hui, j’exerce au sein de mon cabinet privé tout en développant divers partenariats avec des associations, des institutions et des cabinets médicaux. Ma pratique libérale, profondément ancrée dans des valeurs humanistes, s’appuie sur les notions de liberté, de non-directivité, d’authenticité, de confidentialité et de respect de l’autre dans sa singularité.

Ma situation familiale et professionnelle me faisant beaucoup voyager, j’ai choisi de proposer aussi des thérapies en ligne. Au départ de ce projet de téléconsultation, j’avoue avoir eu quelques réticences à proposer des thérapies à distance car il m’importait que le cadre éthique soit respecté et que le transfert, base thérapeutique indispensable qui renvoie au lien particulier qui se tisse entre le patient et son thérapeute, soit maintenu dans le respect du Code de déontologie.

Après avoir consulté plusieurs études sur les thérapies par internet, en France, aux Etats-Unis et au Canada, j’ai d’abord commencé la pratique en ligne sur la demande de patients que je suivais en cabinet puis j’ai étendu ma pratique à de nouveaux patients. J’ai pu me rendre compte que la qualité du travail thérapeutique était la même qu’en cabinet si l’on respectait certaines règles indispensables.

Le suivi psychologique en ligne permet donc un accompagnement psychologique de qualité s’il est proposé par un professionnel averti et diplômé. Cependant, la thérapie en cabinet demeure préférable dans certains cas. Le patient peut avoir besoin de la rencontre physique avec son psychologue afin de traiter des difficultés ou pathologies particulières.

Alexandra Legendri-Fauron

Pour cette raison, il m’arrive de réorienter certaines demandes vers des professionnels exerçant en cabinet qu’ils soient psychologues ou psychiatres. Je vous conseille aussi, comme je le fais pour certains patients en cabinet, de vous adresser à votre médecin traitant, qui vous connaît bien et pourra vous indiquer un psychologue proche de chez vous. Consulter en ligne comme en cabinet exige un engagement authentique qui permettra alors d’avancer avec confiance et sérénité dans ce cheminement que vous avez choisi courageusement d’entreprendre.

Le choix de votre psychologue est important, vous devez vous sentir à l’aise ; c’est grâce à cette relation privilégiée que vous pourrez vous autoriser à vous retrouver « en vrai », comme le disent très justement les plus petits.